L’effet total

Günther ANDERS appelait à un travail d’accroissement de notre faculté d’imagination, pour que nous soit enfin représentable l’effet total de ce à quoi nous collaborons. Car à quelque niveau que ce soit, et surtout aux plus hauts, dont la suractivité est à soi-même sa propre justification, nous sommes trop occupés à nourrir l’état de choses pour avoir même l’idée que réfléchir, et donc peut-être s’arrêter, soit encore possible.1