(…) aux heures perdues; lorsque l’on vit retiré; en conversation tard dans la nuit; lorsqu’on étudie par un jour de soleil; dans la chambre nuptiale; en retenant des hôtes de choix; par temps superbe; lorsque les cieux s’assombrissent; lorsque l’on regarde les bateaux glisser sur le canal; au milieu des arbres et des bambous; par de chaudes journées, près d’un étang à lotus; en brûlant de l’encens dans la cour; après qu’enivrés, les hôtes soient partis; lorsque les plus jeunes sont sortis, pour visiter les temples retirés, etc.
Werner LAMBERSY, Poèmes du pays simple.
(lire, vous savez, c’est un peu comme ouvrir la porte à une horde de rebelles qui se précipitent sur vous et vous attaquent en vingt endroits à la fois)
Virginia WOOLF, Lettre à un jeune poète (1931), L’art du roman.