Le trou de mémoire originel

C’est par un énorme trou de mémoire que nous entamons notre route, l’enfance proprement dite ne commençant vraiment qu’au-delà, quand la surface d’inscription devient, et dès lors pour toujours, l’espace d’un dépôt continu.

Jean-Christophe BAILLY, Tuiles détachées, p.12